Puis un beau jour, je me remis à dessiner et à peindre, cette fois sur du papier à dessin épais 300 g/m2 140-lb de format 30 x 40 cm. Ce support prend bien moins de place que les toiles en lin montée sur cadre de bois.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

J’ai redécouvert les possibilités infinies de l’encre de Chine que j’avais vaguement expérimentée par le passé, dix ans plus tôt. Mon style sombre s’est affirmé au fil du temps et a gagné en maturité. À bientôt 40 ans, je continue de créer des œuvres sombres qui retranscrivent tout ce qui est pour moi inexprimables par les mots. Je ne cherche pas à choquer même si mes créations peuvent heurter la sensibilité. Je ne fais qu’utiliser l’énergie du chaos comme médium pour créer mon propre univers.