C'est tout à fait le genre d'ouvrage que je peux lire et relire sans jamais m'en lasser. « Mes tueurs en série », le livre de Nadia Fezzani fait aussi partie de ceux-là. Plus proche de nous d'un point de vue géographique, Daniel Zagury avec « L'énigme des tueurs en série ». Je pense acquérir prochainement son livre « La barbarie des hommes ordinaires – Ces criminels qui pourraient être nous ». Ce titre m'inspire beaucoup. Certainement une jolie plongée en perspective dans les abysses de la nature humaine ! Ton ouvrage « Les mots du mal : Mes correspondances avec les tueurs en série » est également un véritable coup de cœur tant il est riche en informations sur la face invisible des grands criminels.

Dans quel contexte écris-tu ? Y a-t-il un moment propice dans la journée ou la nuit ? Quelles sont les conditions nécessaires à la création pour toi ?

En général, j'écris pendant la journée et de préférence dans un endroit calme, entourée de mes chats. Le soir, je tente de décrocher un peu de mon sujet en regardant un bon film ou une série. La nuit, l'inconscient continue à travailler. Il m'arrive parfois de me réveiller et de noter une pensée, une idée, ou encore une modification à réaliser sur un texte que je suis en train de rédiger.