Pour cela, interviewons Nicolas Castelaux (écrivain, en charge de l’édition littéraire Camion Noir et peintre) et David Brocourt (peintre, collectionneur de murderabilia et partenaire Sadique-master), deux collaborateurs spécialisés dans la criminologie aux multiples et abondantes correspondances avec divers serial killers pour certains de renommée internationale.

Après avoir sorti plusieurs livres chez l’éditeur Camion noir, dont le marquant « Je tue donc je suis » issu de ses correspondances (Chose qui n’avait encore jamais été faite en France avant lui) parmi lesquels figurent les infâmes textes culinaires de Issei Sagawa (l’étudiant cannibale japonais) ou encore les journées de sévices  (dont le pic à glace dans le vagin)  infligés par David Gore à ses victimes dans sa caravane, Nicolas se voit attribuer la gestion de la collection, directement liée à l’édition Camion Blanc.


J’en profite par la même occasion pour dire que le recueil Sadique-master à venir et déjà évoqué sur les réseaux sociaux sera lui aussi édité chez Camion noir.

Sadique Master.

I:

Sadique Master : La culture artistique déviante (plus précisément dans le cinéma) est elle en certains points liée à la culture du meurtre en série ? Est-ce que tous deux s’alimentent mutuellement ou entretiennent certaines similitudes ?